Quelques jours après l’installation de ses trois pensionnaires, des coucous de Rennes, ses voisins se sont plaints du chant du coq, dès le lever du jour.
En avril, un courrier de l’avocat a précisé que les voisins demandaient le déplacement du poulailler, installé trop près de leur propriété.
En novembre, le juge a décidé d’une mesure de médiation judiciaire aux frais partagés, ceci dans les trois mois. Désormais, demandeurs et défendeur sont dans l’attente de cette médiation. Depuis le début de cette mésentente, Jacques Passelande a pour sa part dépensé 1 440 €.
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