« La musique vivra tant que vivra le blues ! » Et le week-end dernier, le blues ne s'est pas simplement contenté de vivre, il a littéralement habité le cloître des Ursulines et son public. Les spectateurs venus en nombre dès le samedi soir semblaient d'ailleurs impatients à l'idée de participer à la 2e édition du festival Blues in Haut-Anjou ; dès les premiers accords de Blues Baxter, une petite centaine d'amateurs s'était déjà réunie autour du groupe castrogontérien.
Du partage
Tout au long du week-end, cette scène a permis aux artistes de partager des moments uniques et de proposer un spectacle vivant au public. De véritables boeufs entre amis pendant lesquels de nombreux styles de blues se sont cotoyés. « Rien n'est figé, tout est possible dans le blues », affirme Christophe Herengt, guitariste de D.N.A. blues bland.
Et ce ne sont pas Thierry et son fils Charly de Father & son qui diront le contraire. Depuis trois ans, ces deux là se sont lancés un défi des plus originals : mêler blues et hip-hop. « Ces deux styles ont un lien, le gospel. Le plus compliqué c'est d'intégrer le hip-hop dans des mesures blues », explique Thierry. Le résultat est à la hauteur de la passion qui anime ces deux Angevins.
La suite dans l'édition du 29 août 2014
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