C’est le cas par exemple d’Olivier, Castrogontérien de 58 ans. La première fois, il s’était mis dans les pas de ses grands-parents : « Ils avaient des amis au Portugal. Ils partaient de Craon les voir en 4L. Cela ne date pas d’hier. » Ce premier séjour a plu à Olivier : « Dans les villages, on a l’impression de vivre comme dans la France des années 60 avec ses petits commerces, ses fêtes de village. Les gens sont super accueillants, attentifs. Il n’y a pas d’arnaque, un luxe par les temps qui courent. La vie n’est pas chère à condition de consommer local. Le kilo de cerises revient à 2 €. »
Article complet à retrouver dans l'édition du Haut Anjou du 30 septembre 2018.
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