A 57 ans, il affectionne ce rendez-vous où il assure aussi la promotion de la race Rouge des prés. Tout cela dans une ambiance sans pareil, notamment au sein d'un espace de convivialité, « la réserve, local mis à disposition par le Salon ». Celui-ci est partagé avec les éleveurs de Jersiaises, beaucoup sont de Maine-et-Loire : « C’est ma femme qui assure les repas, 450 pendant dix jours, pour tout ce monde.»
Ivoire est en compétition
Le départ pour Paris est prévu vendredi 22 février à 8 h, depuis le Domaine des Rues à Chenillé-Changé, fief historique de la race Rouge des prés , « C’est là qu’elle a été créée en 1908 », elle résulte du croisement d’une race locale, la Mancelle, avec une autre, britannique, la Durham.
Dans le convoi pour Paris, le Gaec de la Chauffetière emmène Ivoire. Sa vache voyagera avec quatre autres, d’autres éleveurs des environs. Après un peu plus de 4 heures de trajet, ce sera l’arrivée à Paris, « l’installation, la mise en place de la réserve, la préparation des animaux. Tout doit être prêt pour le lendemain matin », pour l’ouverture au public.
Elles seront seize Rouge des prés au total, présentées au Salon.
Article complet à retrouver dans le Haut Anjou du 22 février 2019, édition papier ou numérique.
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