« Nous sommes le territoire du Haut-Anjou et entretenons des liens privilégiés avec le centre hospitalier universitaire (CHU) d’Angers depuis de nombreuses années maintenant. » C’est en s’appuyant sur cette étroite collaboration de travail entre les professionnels de santé du CHHA et du CHU d’Angers que le président du conseil de surveillance de l’établissement castrogontérien a fait part du vote, adopté à l’unanimité, vendredi 15 février lors d’un conseil exceptionnel pour « réviser les limites géographiques fixées il y a trois ans lors de la mise en place du GHT ».
Une décision que l’établissement, à l’époque, avait été « contraint » et « forcé » d’appliquer.
Plusieurs raisons expliquent aujourd’hui cette position selon Jean Arthuis.
Des propositions à retrouver dans l'édition du Haut Anjou du vendredi 22 février 2019
Dans son courrier adressé à Agnès Buzyn, Jean Arthuis va même plus loin. Dans le cadre d’un GHT interrégional où celui de Maine-et-Loire intégrerait l’hôpital castrogontérien, « nous pouvions même imaginer un rapprochement plus fort entre le CHU d’Angers et le CHHA en constituant une direction commune, voire en fusionnant les deux établissements, tant les affinités sont grandes. »
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