« C’est assez étrange. Quand Robert Tatin arrive ici, à La Frénouse en 1962, il est surtout réputé pour ses peintures et ses céramiques, retrace son parcours, Bruno Godivier, le directeur du musée Tatin. Avec le temps, cette notoriété liée à la peinture et à la céramique s’est atténuée au profit de l’archi-sculpture ».
En 1947, Robert Tatin obtient la reconnaissance. Son fonds de bougnat est alors transformé en atelier de céramiques, situé rue de la Cerisaie.
Il s'établit à Cossé en 1962
En 1950, Tatin part en Amérique latine, au Brésil. En 1951, il décroche le premier prix de sculpture de la Biennale de Sao Paulo. Il rencontre des Amérindiens au Brésil, au Chili, et des scientifiques qui étudient les hautes températures sur de nouveaux matériaux et qui influencent son travail.
En 1962, il s’établit à La Frénouse à Cossé-le-Vivien. « Il y réalise son œuvre monumentale tout en gardant le modelage façon céramique. Cette idée de sculpture modelée lui tenait à cœur. Cette sculpture monumentale au musée est l’aboutissement. »
Article complet à retrouver dans votre édition du Haut Anjou vendredi 5 juillet 2019.
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.