Le septuagénaire semble à bout. Désemparé même. Voilà près de quatre mois que cet habitant de Vergonnes, dans le Pouancéen, ne peut pas avoir accès à Internet. Ou du moins ne peut plus. Donc plus de téléphone fixe non plus pour Michel Goulvent, 72 ans.
Il y a encore six mois, cet administré de la commune nouvelle d’Ombrée-d’Anjou surfait sans souci sur Internet.
La même adresse mais à Chazé-Henry
Sa galère, elle remonte à il y a quatre mois lorsqu’une plateforme téléphonique d’un opérateur concurrent au sien lui a téléphoné et a résilé son contrat sans lui demander son avis: « Il voulait me forcer la main pour que je prenne un contrat chez eux ! » Et c’est donc de ce coup de fil que tout a commencé. « Le lendemain de l’appel, j’ai contacté mon opérateur pour lui dire que je n’avais plus accès à Internet, c’est là qu’on m’a expliqué que mon contrat avait été résilié. »
On se dit donc tout simplement qu’il suffit d’en rouvrir un autre ? Eh bien pas si simple... L’opérateur ne parvient plus à retrouver l’adresse de Michel Goulvent pour ouvrir une ligne : « Quand j’indique mon adresse rue d’Anjou à Vergonnes, il trouve le même numéro, la même rue mais à... Chazé-Henry ! »
La suite de l'article à retrouver dans le Haut Anjou du vendredi 12 juillet 2019, édition papier ou numérique.
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