Selon la directrice adjointe du Sessad Adapei de Segré et de l’Institut médico-éducatif (IME) Clairval «la sensorialité est souvent en questionnement pour les personnes en situation de handicap mental, qui peuvent avoir du mal à exprimer leurs émotions et avoir besoin de repérer ce qu’elles ressentent.
Parce que la sensorialité, ce sont des canaux relationnels et d’apprentissage, c’était aussi intéressant de mettre en évidence la singularité de chacun par le biais du ressenti ». Pour arriver au bout de cette voie créative, huit mois de travail ont été nécessaires à l’equipe du Sessad et aux enfants sur des temps d’accompagnement individuels et des ateliers collectifs.
Article complet à retrouver dans notre édition du Haut Anjou du vendredi 12 juillet 2019.
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