Un concept unique, éthique et durable. C’est ainsi que se définit l’Écurie de la Seconde chance qui, depuis 2009, récupère des chevaux de course dont les critères ne correspondent pas ou plus à la compétition de haut niveau. Unique parce que personne n’y avait pensé avant Sylvain Martin (son épouse Amélie l’a rejoint dans la structure en 2013).
Éthique parce qu’il permet de redonner une seconde vie à un cheval, loin des hippodromes.
Durable, car le cahier des charges établi par le couple au futur propriétaire oblige celui-ci à donner régulièrement des nouvelles de l’animal.
Pour s’assurer que l’équidé suive la voie de ses deux précédentes vies, celle de l’Écurie, et celle des courses, au cours desquels « il aura été habitué à des gestes maîtrisés par des gens compétents et reçu les meilleurs soins », selon Amélie.
Des chevaux aux profils variés
Mais alors pourquoi se séparer d’un cheval a priori bien sous tous rapports. «Certains ont des blessures ou ont déjà 9/10 ans, d’autres ont entre 3 et 7 ans, mais ne sont pas nés pour être chevaux de course », précise la cogérante de l'Ecurie de la Seconde chance.
Article complet à retrouver dans l'édition du Haut Anjou du vendredi 16 août 2019.
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