L’un est producteur depuis dix-huit ans, les autres depuis moins d’un an.
Mon premier est habitué des aléas de la météo quand mon deuxième, un couple, découvre à peine les variations extrêmes du climat. Si différents au premier abord, ces trois-là ont pourtant plusieurs points communs, comme la motivation, la réactivité et surtout l’adaptabilité.
À ce sujet, comment ne pas croire Frédéric Brisset quand il admet que connaître deux périodes aussi distinctes que le gel en avril et mai, et la canicule en juin et juillet « c’est compliqué » ?
La pire année pour le cassis
Producteur de fruits à Sœurdres depuis 2001, Frédéric a beau investir dans un système antigel, il ne peut en effet rien contre les restrictions d’eau qui l’empêchent d’asperger. Hors, quand le mercure monte jusqu’à 38°C, comment ne pas réagir « quand le végétal ne pousse plus » ?
Article complet à retrouver dans l'édition du Haut Anjou du vendredi 23 août 2019.
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