Parmi la vingtaine d’élèves inscrits cette année au CAP petite enfance, deux vont travailler dans une entreprise du secteur trois jours par semaine.
« On essaye de se faire connaître auprès des structures et des mairies, explique Alexandra Boucard, responsable de la formation. De nombreux jeunes de chez nous aimeraient se lancer dans l’apprentissage mais ne trouvent pas de patron. »
« Une volonté politique de la part du gouvernement »
Ce retour de l’apprentissage dans les lycées professionnels n’est pas le fruit du hasard.
Pour encourager les entreprises à recruter des jeunes, une subvention de 4 125 € est débloquée par le ministère. « Il y a une vraie volonté politique de la part du gouvernement. On remarque clairement que les jeunes qui sortent de ce type de filière s’intègrent plus facilement au monde du travail », assure Stéphanie Gandon, nouvelle directrice du lycée Robert-Schuman.
Article complet à retrouver dans l'édition du Haut Anjou du vendredi 6 septembre 2019.
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