Lorsqu’Emmanuel de Richecour et son épouse ont acheté leur maison à Saint-Germain-de-L’Hommel, ils n’imaginaient pas acquérir quelque temps plus tard 12 hectares supplémentaires. « Nous n’avions pas d’accès à la rivière. Alors quand un voisin a souhaité vendre ses terres, nous avons sauté sur l’occasion », confie le propriétaire du Rocher.
Très vite, il décide de planter des arbres « mais pour autant, je ne souhaitais pas m’enfermer dans une forêt. On m’a alors conseiller de planter des noyers tous les dix mètres, pour garder un espace clairsemé et une vue dégagée ».
Des conditions idéales
Il y a donc vingt-cinq ans, sur huit hectares, Emmanuel de Richecour a planté 800 noyers dits “communs” ou “sauvages”. « Le premier projet c’était la production de bois. Et puis au bout de 15 à 20 ans, lorsque je suis parti à la retraite, ils ont commencé à donner des noix de tailles, de formes et d’épaisseurs différentes. »
Article complet dans notre édition du 4 octobre 2019.
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