«Notre abattage est conventionnel et non ritualisé», explique aux préfet et sous-préfet, Marc Prioul, directeur responsable, depuis 36 ans dans l’abattoir.
L’abattoir municipal est une institution dans le paysage régional. Il a été créé en 1960, remis aux normes européennes en 1984, puis modernisé et remis à neuf en 2005/2006.
Aujourd’hui, quatorze agents y travaillent, sans compter les agents des services vétérinaires qui contrôlent la qualité et le bien-être animal.
Sept à huit bovins à l’heure
La capacité est passée « à 3 000 tonnes équivalent carcasse, sachant qu’elle ne peut aller au-delà vu des équipements. »
D’ailleurs, « on a dû mettre un frein auprès de certains prestataires il y a deux ans car le personnel souffrait et l’équipement ne suivait pas. Nous privilégions la qualité à la quantité », expliquent le directeur et le maire, Claude Gilet.
Pour preuve, « nous gérons sept à huit bovins à l’heure contre 80 pour les gros industriels », souligne Marc Prioul. Il existe trois chaînes d’abattage et « on ne travaille qu’espèce par espèce.»
Article complet à retrouver dans notre édition du Haut Anjou du vendredi 4 octobre 2019
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