« Dans l’idéal, nous aimerions qu’il y ait une harmonie, une cohérence des rythmes scolaires sur le Pays de Château-Gontier, sans toutefois imposer une organisation unique. » Force est de constater que depuis la rentrée de septembre 2017, le vœu de Marielle Planchenault-Michel, adjointe au maire de Château-Gontier en charge de la réussite éducative, ne pourra être exaucé. Cependant, à la suite de la réunion de ce mardi 21 novembre, « nous avons constaté que la plupart des communes du Pays seraient favorables au maintien de la semaine de quatre jours et demi, d’autant plus que le ministre de l’éducation nationale vient d’annoncer le maintien, potientiellement jusqu’à la fin du mandat présidentiel (en 2022), du fonds d’amorçage en soutien notamment à l’organisation des temps d’activités périscolaires . »
Jusqu’à mi-janvier
pour demander
une dérogation
Une décision des élus qui, pour certains, ont sollicité les avis des familles via des questionnaires. Si à Bierné, comme à Château-Gontier, parents, enfants et la plupart des enseignants semblent satisfaits des rythmes actuels, à Saint-Denis-d’Anjou, les retours des questionnaires penchent davantage vers la semaine de quatre jours.
Dans tous les cas, les communes qui souhaitent revenir à la semaine de quatre jours ont jusqu’à la mi-janvier pour le faire savoir à l’inspecteur d’académie.
« Après avoir assisté à presque tous les conseils d’écoles, les enseignants affirment, à Château-Gontier, à une large majorité que les apprentissages sont plus confortables pour les enfants sur cinq jours. Un petit bémol a toutefois été soulevé concernant les écoliers de maternelle où ces rythmes seraient moins adaptés. »
Plus d'informations dans notre édition du 24 novembre.
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