Son carnet de réservations affiche complet pour vendredi 13 juillet. Ce qui est loin de lui déplaire. « Je pense que beaucoup de mes clients souhaitent venir me voir une dernière fois », confie-t-il modestement. Car après 32 ans de service, du mardi au samedi « midi et soir », Alfonso Sarago va refermer une longue histoire de sa vie professionnelle.
« Quand je suis arrivé à Château-Gontier, avec mon épouse Chantal, on ne voulait pas rester longtemps», indique pourtant le Napolitain d’origine qui s’est installé en France en 1976. Reste que c’est dans le sud-Mayenne, « sa deuxième ville d’adoption », qu’il a fondé sa famille et qu’il s’est fait de nombreux amis.
Toujours l’espoir d’un repreneur
Le 21 mars 1986, quand il ouvre son établissement, il est alors à la tête de la première pizzeria de la ville. Depuis, d’autres l’ont rejoint. Mais Alfonso Sarago, passé par l’hôtel Martinez à Cannes ou encore l’Hermitage à La Baule, a toujours pu compter sur le soutien de sa clientèle fidèle qu’il tient à remercier. Son sourire communicatif et la qualité de ses produits n’y sont sans doute pas pour rien. Sur sa carte, 19 pizzas. Margherita, Calzone, Napoletana, Quattro stagiono et bien évidemment l’Alfonso. « Toutes préparées avec des produits frais », précise le pizzaïolo devant son four à bois.
Article complet à retrouver dans l'édition du Haut Anjou du vendredi 13 juillet.
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