L’Arbre qui Marche n’est pas un festival comme les autres. Il s’est bâti sur un concept particulier : centré sur les musiques du monde, le festival promeut des valeurs telles que le respect de l’environnement ou encore la valorisation de la culture des peuples autochtones, comme les Aborigènes d’Australie.
Un rendez-vous sans alcool
L’événement qui prendra à nouveau ses quartiers aux pieds du château de Danne s’avère avant-gardiste sur bien des aspects : par exemple, l’alcool y est prohibé. « Nous voulons impliquer les festivaliers en en faisant de véritables “festacteurs”, explique Laurine, l’une des organisatrices. Interdire l’alcool doit permettre un plus grand investissement des festivaliers dans les ateliers qui leur seront proposés. »
Article à lire en intégralité dans le Haut Anjou du 10 août 2018, édition papier ou numérique.
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