Le service de transport a profité, en 2018, à 651 usagers, dont beaucoup de plus de 80 ans, « bien que le service soit ouvert à tous », rappelle Jean-Claude Laurent, le président. 80 bénévoles l’animent sans compter la cinquantaine de chauffeurs familiaux, « qui ne conduisent que leurs parents en fauteuils roulants ».
MPC n’a plus à faire sa réputation à Craon là-même où plus de 300 personnes font appel à lui chaque année. En revanche, à Cossé-le-Vivien et sa région, il a encore besoin de se faire connaître. 150 usagers l’ont emprunté l’an dernier.
Un service salué
Parmi eux, Marie-Ange Marsollier, qui n’a plus de voiture à la suite de problèmes de vue. « Il y a trois ans, par le bouche-à-oreille, j’ai eu vent de l’existence de MPC. Je faisais appel à leur service une à deux fois par an. Aujourd’hui c’est beaucoup plus souvent. Les deux derniers mois de l’année passée, je m’en suis servie quinze fois pour des rendez-vous médicaux. »
Jean-Claude Laurent insiste : « C’est d’abord un service de dépannage. On n’a pas mission à tout faire. Les bénévoles ne sont pas “corvéables” tous les jours ».
Article complet à retrouver dans l'édition du Haut Anjou du vendredi 15 février 2019.
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