Patrick Plassais est sorti de son silence mardi 28 juin. Devant une centaine de personnels du centre hospitalier du Haut-Anjou, le directeur a d’entrée expliqué les raisons de sa réserve. « Elle était nécessaire le temps de trouver un accord. Pour autant, nous n’étions pas dans une position d’attente. » Il est notamment revenu sur le processus de création des groupements hospitaliers de territoire mais aussi sur les inquiétudes du comité médical « qui jusqu’à début juin n’avait obtenu aucune réponse de l’ARS quand aux garanties que nous demandions ».
L'hôpital du Haut-Anjou souhaitait en effet que la collaboration avec le CHU d'Angers puisse perdurer et qu'au sein du groupement hospitalier de territoire mayennais, chaque établissement conserve son autonomie. Après des négociations «délicates», le directeur a présenté le bilan des échanges entre les représentants des sept établissements mayennais.
Tous les détails dans notre édition à paraître le vendredi 1er juillet.
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