Ce festival pour le moins original est basé sur deux principes fondamentaux : le sans alcool et la participation active des festivaliers. Sans alcool ? Christalen Fieu, coordinateur du festival s’explique : « Le concept sans alcool nous vient d’un autre festival que nous considérons comme notre frère et qui avait pour principe de faire découvrir la culture des aborigènes d’Australie. Un peuple ravagé en partie par les dégâts causés par l’alcool. »
L’autre grand principe de ce festival s’appuye donc sur la volonté de faire du festivalier un véritable acteur de l’évènement. « Nous appelons ça des “fest-acteurs”. » Cela se concrétise par la mise en place de plusieurs ateliers d’initiation.
Côté programmation artistique, le festival est centré sur les musiques traditionnelles du monde. Neuf concerts, qui mettront principalement en avant des instruments comme le didgeridoo, la guimbarde ou encore le hang drum, sont ainsi programmés en soirée sur les trois jours.
Toutes les informations à retrouver dans le Haut Anjou du 19 août.
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.