Sans lui, pas d’avenir pour la carrée ardoisière. Les élus de La Pouèze ne pouvaient rester de marbre quand le bois du vieux chevalement a cédé en février 2011. Ils ont remué ciel et terre pour que la carrée ardoisière revive. Avec en tête d’autres projets dont l’élaboration d’un parcours sur la butte. Tout cela dans l’unique but d’avoir un patrimoine minier et de transmettre une tranche d’histoire locale aux autres générations à venir.
Trouver près de 170 000 euros n’a pas été simple. Cela a nécessité de la patience et de la persuasion pour convaincre Etat et Région (66 000 euros à eux deux), Département (32 000 euros), Fondation du patrimoine (15 000 euros) et 8 500 euros versés par 86 donateurs lors d’une souscription. « Je ne remercierai jamais assez les Pouëzéens pour leur contribution initiale de 45 000 euros », a ajouté Jean-Claude Lecuit. L’autre étape qui a facilité la restauration du chevalement est plus ancienne. Elle remonte à l’année 1999 sous le mandant de M. Lherbette, son prédécesseur. Lui avec d’autres ont entrepris les démarches qui ont permis l’inscription du chevalement à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques.
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.