Découvrez Le Haut Anjou en illimité pour 1€ seulement Découvrir les offres

Près de Château-Gontier. Ils vendent leur restaurant à cause de problèmes de santé : "On n'a pas le choix"

Actualités.

Après six années de travail acharné, Valérie et Jean-Claude Galivel, gérants du restaurant Chez Val et JC à Fromentières, près de Château-Gontier, sont contraints de vendre leur restaurant, le cœur lourd, à cause de problèmes de santé.

Près de Château-Gontier. Ils vendent leur restaurant à cause de problèmes de santé : "On n'a pas le choix"
Jean-Claude et Valérie Galivel quitteront le bar de la commune en novembre pour des soucis de santé. - CM

À Fromentières, le restaurant de Valérie et Jean-Claude Galivel ne passe pas inaperçu. Et pour cause : c'est le seul commerce de la commune. Depuis près de six ans - ce sera officiel le 15 novembre 2025 - ce couple passionné tient ce lieu de vie avec une énergie et une générosité qui forcent le respect. Aujourd'hui, ils doivent tourner la page, à contrecœur.

Des problèmes de santé depuis des années

"On...

Il vous reste 90% de l'article à lire.

Vous devez bénéficier d'un abonnement premium pour lire l'article.

Abonnement sans engagement
Déjà abonné ? Connectez-vous

Newsletter

Restez informé ! Recevez des alertes pour être au courant de toutes les dernières actualités.
Réagir à cet article

L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.

En direct
Petites Annonces
Automobile
A vendre Renault Captur
A vendre Renault Captur Craon (53400) 18 000€ Découvrir
Bonnes affaires
Plat pour foie gras
Plat pour foie gras Lizy-sur-Ourcq (77440) 5€ Découvrir
Service à café 4 tasses + 4 soucoupes
Service à café 4 tasses + 4 soucoupes Lizy-sur-Ourcq (77440) 20€ Découvrir
Porsche Magnum + figurine
Porsche Magnum + figurine Lizy-sur-Ourcq (77440) 10€ Découvrir
20 jetons en plastique
20 jetons en plastique Lizy-sur-Ourcq (77440) 10€ Découvrir
Près de Château-Gontier. Ils vendent leur restaurant à cause de problèmes de santé : "On n'a pas le choix"