Cinq points de suture à l’arcade droite, autant à la gauche, deux sur la lèvre inférieure et le reste sur la lèvre supérieure. Plus le nez fracturé.
Tel est le bilan de “l’attentat” commis sur le buteur du RCC. « Perdre peut arriver, mais blesser un de mes gars volontairement non ! », ne décolère pas Yohanne Penot qui a vu François Samirant au sol se prendre « un gros coup de chausson », volontaire par un adversaire.
Malgré son casque de protection, le Castrogontérien a été très fortement touché. François Samirant, exemplaire, se fera recoudre sur place et est reparti sur le terrain « car c’est un compétiteur hors pair. C’est un super gars, un super arbitre, parfait dans l’esprit » rend hommage son entraîneur.
L’arbitre n’a pas vu l’action, mais les dirigeants castrogontériens ont alerté les instances du rugby sur le geste de l’adversaire. « Franchement, c’est le genre de truc qui me ferait arrêter. Je constate qu’il n’y a pas que lors de notre match qu’il y a eu de tels gestes. Il faut que cela s’arrête et qu’on punisse. »
Le RCC menait à deux minutes de la fin
Côté sportif, le RCC a été battu en 32e de finale du championnat de France de 1re série après prolongation par les Charentais de Cherves. (49-32). Les Charentais ont fait la décision dans la prolongation avec 17 points inscrits contre aucun côté castrogontérien.
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