Le 12 mars dernier, un incendie a ravagé une partie de la boulangerie et l’habitation de la famille Durand. « Un des groupes frigorifiques a été défaillant, mais c’est surtout la maison qui a été endommagée », explique Noam Durand, le boulanger.
Côté boulangerie, les choses vont beaucoup mieux. Noam et son épouse Magali ont eu les clés de leur local d’activité vendredi 1er juin, « à 14 h », précise le boulanger qui se rappellera toute sa vie de l’heure où il a retrouvé le sourire. Le plafond, l’électricité, la peinture... tout a été refait. « Cela a pris deux mois et demi de travaux. Aujourd’hui, on repart à 100 % au niveau de la fabrication et de la vente. » Les boulangers sont soulagés.
La solidarité
a fonctionné
Pour fêter l’événement, ils ont organisé pour leur clientèle un petit déjeuner, le samedi 2 juin, pour la remercier de sa fidélité. Jusque-là, les artisans fabriquaient et vendaient au sein de la bibliothèque mise à disposition par la municipalité. « Cela nous a bien aidés, mais c’était coton. Nous n’avions pas de vitrine réfrigérée. »
Article complet à retrouver dans l'édition du Haut Anjou du 8 juin 2018.
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