L’exploitation du fer et de l’ardoise a laissé des traces dans le Segréen. à commencer par les différentes cités minières sorties de terre à proximité des mines afin d’y héberger les ouvriers. Aujourd’hui, plusieurs sites restent représentatifs de cette époque.
Etudiants et jeunes diplômés
Fort de ce constat, Anjou bleu communauté (ABC) et la Direction départementale des territoires de Maine-et-Loire (DDT 49) ont organisé un workshop pluridisciplinaire sur la thématique de l’habitat minier, qu’elles soient ardoisières ou minières. « Nous avons donc accueilli 28 étudiants pendant une semaine, du 17 au 22 février dans le Segréen, annonce François Blineau, de la DDT 49. Certains sont encore étudiants, d’autres jeunes diplômés, de cursus différents : architecture, sociologie, photographie, paysagiste, urbanisme, etc. » Jean-Noël Gaultier, vice-président d’ABC en charge de l’habitat ajoute que « l’idée était de réunir un panel très varié d’étudiants ou de jeunes diplômés dans un temps réduit ».
Pendant une semaine, cette trentaine de jeunes pour qui le Segréen était jusqu’ici inconnu ont donc arpenté quatre sites emblématiques : la cité ouvrière de Bel-Air, la cité-jardin de La Promenade de Noyant-la-Gravoyère, la cité du Bois II de Nyoiseau et la cité des Mines de Segré.
Les idées évoquées par les étudiants sont à retrouver dans le Haut Anjou du vendredi 1er février 2019, édition papier ou numérique.
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