« Les formations que nous avions proposées il y a quelques années avaient suscité un véritable intérêt auprès des commerçants. C’est pour cela qu’en 2016 nous avions répondu à un appel à projet du Fonds d’intervention pour les services, l’artisanat et le commerce (Fisac) pour lequel nous avons été retenus en 2017 », recontextualise Daniel Gendry, vice-président en charge de l’économie.
Des subventions d’état ont ainsi permis à la collectivité de recruter, pour un an, un chargé de mission qui s’attachera à aller à la rencontre des commerçants, pour les connaître ainsi que leurs besoins, les accompagner « et comprendre comment ils se projettent dans l’avenir ».
Un tour d’horizon indispensable pour les élus à qui on reproche parfois « de faire beaucoup pour l’économie et moins pour le commerce ». Mais Daniel Gendry de réaffirmer : « Ce n’est pas notre travail de faire à la place des commerçants mais nous pouvons toutefois leur apporter ce qu’ils n’ont pas le temps d’aller chercher. »
Un questionnaire puis des actions
Transition numérique, communication, accessibilité, modernisation, emplacement... sont autant de sujets qui sont abordés dans le questionnaire que Pierre-Antoine Bazinet, 28 ans, originaire de la Dordogne, présente depuis la fin du mois de janvier aux 150 à 160 commerçants répartis dans 29 des 37 communes du territoire, et qui emploient au total 438 salariés.
Article complet à retrouver dans notre édition du Haut Anjou du 8 mars 2019.
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