Ce dossier qui date de près de dix ans, a été accepté par la CRE. Cette dernière a retenu 107 dossiers au total, dont deux en Pays de la Loire (à titre de comparaison, trois ont été retenus en Bretagne).
La centrale livréenne sera installée sur l’ancien site d’enfouissement des déchets (La Vieuville) qui n’est plus utilisé depuis 2013. Depuis les années 80’, des tonnes de déchets y ont été enfouies.
Communauté de communes et Gal
Le projet de cette première centrale au sol qui sera composée de 12 750 panneaux photovoltaïques a bénéficié de plusieurs facteurs. Tout d’abord, les terrains dans le sud de la France (davantage ensoleillés) se raréfiant pour les centrales photovoltaïques, les chances des projets du nord et de l’ouest d’aboutir augmentent.
« 44% des projets retenus sont en dehors des quatre régions du sud», indique Vincent Saulnier, président du GAL sud-Mayenne.
Aussi, le prix de revente en dix ans est passé de 12/14 centimes à six, «et plus il est bas, plus le dossier a de chance de passer», avaient expliqué Florent Epiard, responsable projets chez IEL et Jean Coadalan, chargé de projets en mars lors de la présentation du projet.
Ces derniers avaient aussi élargi et optimisé l’espace de la centrale livréenne, passant ainsi de 6 à 8,6 ha.
Article complet à rertrouver dans notre édition du vendredi 6 septembre 2019
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