Andigné. Ces femmes font vivre le comité des fêtes

Sandrine Chaineau, Amandine Lemale et Aurélie Ploquin font vivre depuis des années Andigné à travers l'organisation de différents évènements. Rencontre avec ces trois femmes du bureau du comité des fêtes.

Depuis quand êtes-vous investies ?

Sandrine et Amandine : Nous y sommes depuis plus de seize ans, car l'ambiance et la convivialité sont présentes, c'est très valorisant et porteur. De plus, on s'entend tous bien, une bonne harmonie y règne.

Aurélie : J'y suis depuis trois ans, car mon mari y était. J'avais aussi envie de m'impliquer et m'investir.

Quelles sont vos implications ?

Sandrine et Amandine : Je suis secrétaire et Amandine adjointe. Notre rôle consiste à communiquer à l'extérieur, pour nos différentes manifestations, rédiger les comptes rendus des réunions mais aussi participer à la mise en place de nos cinq manifestations par an. En amont il faut organiser, préparer et s'occuper de l'intendance, notamment pour la soirée plein air qui a eu lieu le 22 juillet avec l'orchestre StarLight. Il nous a fallu une bonne coordination avec tous pour assurer l'installation des chapiteaux et la restauration. En tout cas, c'était un réel succès !

Aurélie : Moi je suis trésorière et je comptabilise toutes les sorties et entrées d'argent. Notre but n'étant pas de faire du bénéfice mais d'animer Andigné et de rentrer dans nos frais. Nos enfants s'impliquent aussi à leur hauteur et en fonction de leurs capacités.

Comment s'organise le concours de pêche et depuis quand existe-t-il ?

Dimanche 23 juillet, nous avions 57 pêcheurs, hommes, femmes et enfants confondus. Ce traditionnel concours existe depuis la création du comité des fêtes, c'est-à-dire depuis 1953 ! Il a du succès, et tous les pêcheurs repartent avec un lot ou une enveloppe pour les gagnants. Nous récupérons des lots auprès des commerces ou des habitants. C'est la traditionnelle Tournée des canards à Andigné et on fait du porte-à-porte pour récupérer des lots. Au début les gens donnaient des volailles, ce qui n'est plus autorisé à ce jour, mais l'intitulé est resté et les habitants donnent ce qu'ils veulent. C'est Kevin Remoué qui a remporté le trophée communal de ce concours.