L’ancien directeur de cabinet de Jean-Marie Le Pen estimait pourtant que son permis était absolument nécessaire à l’exercice de sa profession de courtier en crédit ainsi qu’à son mandat d’élu régional, dans la mesure où tous deux imposent « de nombreux déplacements » et qu’il habite à Niafles dans le Craonnais, donc « loin d’une gare ferroviaire ».
Pascal Gannat - qui réclamait 800 € à l’état pour ses frais de justice - estimait par ailleurs que son comportement d’automobiliste était « parfaitement compatible avec les exigences de la sécurité routière ».
Plus de détails dans notre édition du 25 novembre.
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