Depuis août dernier, il ne s’arrête plus. Le Segréen Jean-Jo Brécheteau a décidé de reprendre goût à la compétition. Et bien lui en a pris. Depuis la rentrée, il parcourt les 10 km et les semi-marathons à droite et à gauche. Et malgré le poids des années, les jambes répondent toujours et plutôt bien même.
«Mon retour n’était pas du tout programmé», assure-t-il pourtant. Tout a redémarré à l’automne 2016. «Mon frère me lance un défi : réaliser le marathon de Paris en 3 h 30 au printemps. Je dis “ok” et je m’entraîne durant tout l’hiver». Le 9 avril dernier, le défi est relevé. Jean-Jo Brécheteau parcourt les 42,195 km en 3 h 27. «C’est là que la mèche s’est rallumée. J’ai retrouvé l’ambiance des courses et la joie de se trouver sur la ligne de départ», admet-il.
Un retour sur la Corrida de Château-Gontier ?
Et si Jean-Jo Brécheteau faisait son retour sur la Corrida de Château-Gontier le 29 décembre ? La question n’est pas saugrenue. Au contraire. «Si mon état de forme est ce qu’il est aujourd’hui, il n’y a aucune raison pour que je ne prenne pas part à cette course», assure-t-il. Et pour cause, la Corrida de Château-Gontier tient une place particulière dans l’esprit du Segréen. D’abord parce qu’il l’a remportée à trois reprises (1990, 2003 et 2004). Ensuite parce qu’elle a lieu presque à domicile et est organisée par un club, l’Upac, qu’il apprécie. «Il ne font pas les choses n’importe comment là-bas, c’est un rendez-vous pas banal et puis la Mayenne, c’est là que j’ai réalisé ma première course alors que j’étais minime», se souvient Jean-Jo Brécheteau.
Lire l'article complet dans les pages du Haut Anjou du 29 septembre 2017
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