D’un véritable conte de fées, Jean-Marie et Agnès vivent aujourd’hui un calvaire. A partir du 15 janvier prochain, la municipalité de Grez-Neuville ne leur donnera plus le droit d’habiter sur leur bateau, stationné sur le port de plaisance de la commune. «La municipalité nous explique que les infrastructures ne sont pas adaptées aux bateaux habités comme le nôtre. Elle nous avait pourtant délivré notre autorisation lors des trois précédentes années», lancent Jean-Marie et Agnès.
Ces derniers dénoncent les pressions exercées par la mairie.
Les plaisanciers ont peur de se retrouver “à la rue”. «Où allons-nous aller ? Il n’y a plus de place dans les ports de plaisance.»
Article complet à retrouver dans le Haut Anjou du vendredi 22 décembre 2017
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