Vous quittez donc le Segréen, pour aller où ?
Je vais rejoindre la capitale pour intégrer la délégation à la Sécurité routière, aux côtés du délégué Emmanuel Barbe. On me l’a proposé et j’ai trouvé le poste intéressant donc j’ai dit oui. Je ne pensais pas à cette proposition, j’ai plutôt demandé de continuer dans la préfectorale. Mais dans deux ans, trois ans, c’est avec plaisir que je reviendrai sur un poste de sous-préfet d’arrondissement, de directeur de cabinet ou autre. Je quitte mes fonctions de sous-préfet le 16 novembre et je commence à Paris le 19.
Beaucoup de personnes mettaient en avant votre proximité sur le terrain, c’est indispensable pour vous ?
C’est ma façon de travailler, je l’avais annoncé dès mon arrivée. Je recherche la nécessité d’échanger, de discuter et de trouver les bonnes solutions ; sachant qu’on a un rôle essentiel en tant que sous-préfet d’accompagner aujourd’hui les collectivités locales et c’est vrai que c’était une période relativement exceptionnelle que j’ai vécue.
Notamment avec la création des communes nouvelles ?
Oui, il y a les communes nouvelles et l’évolution des intercommunalités. […]
La suite de l'entretien à retrouver dans le Haut Anjou du 9 novembre 2018, édition papier ou numérique.
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.