Quand on arrive à Cossé-le-Vivien, si on n’est pas du coin, la première impression qu’on a en passant, ce sont des façades d’immeubles d’habitation et de commerce quelque peu marquées par le temps. Un relooking s’imposerait.
L’heure est peut-être venue, notamment pour anticiper le contournement. Nombre de véhicules n’emprunteront plus le centre-ville mais utiliseront la déviation d’ici à 2023. Rajeunir le paysage urbain redonnerait certainement du dynamisme à la vie locale, aux commerces.
« Nous devons imaginer l’avenir »
La municipalité a déjà commencé à travailler sur le sujet avec l’îlot Grande-Rue, où il sera question, à partir de 2019, de densifier le secteur et de raser des habitations abandonnées, vétustes. « Une trentaine de personnes viendront s’y installer à terme », lâche Christophe Langouët, maire.
Sera adossée, un jour, à un éventuel Ehpad (établissement d’hébergement pour personnes âgées), la future maison de santé. Et la pharmacie l’y rejoindra. « C’est un point de garantie supplémentaire dans le parcours santé des habitants. Mais d’un côté, cela laissera une vitrine vide. En terme de commerces, nous devons imaginer l’avenir. Une vraie réflexion devra s’engager sur le traitement des magasins vacants. »
Article complet à retrouver dans l'édition du Haut Anjou du 14 décembre 2018.
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