Au plan national, les points de retrait ont quelque peu reculé passant à 111. «Il y a eu six ouvertures de Drive fermier pour dix fermetures car pour cinq, ce n’était pas rentable, d’autres ont, au contraire, monté un magasin devant leur succès, quant aux derniers, c’est à cause d’un changement de logiciel», explique Linda Cousin, de la Chambre d’agriculture qui consacre 20 % de son temps aux missions liées au Drive fermier.
En Mayenne, le Drive fermier, créé en 2003, comprend 23 adhérents. «Si le sud est hyper représenté, au nord c’est totalement différent», explique la présidente Sylvia Goisbault, installée à L’Huisserie en production volailles. Un seul adhérent a arrêté, mais cinq sont arrivés élargissant l’offre au beurre, aux légumes, aux glaces, à la confiture et aux pâtes.
Un panier moyen de 36,76 €
Le groupe aimerait en voir d’autres arriver «car on a des demandes en lapins par exemple ou spiruline.»
Le Drive fermier compte également davantage développer la partie bio.
En 2018, le Drive fermier n’a fermé qu’une seule semaine. 70 commandes sont réalisées par semaine (soit près de 300 par mois) contre 60 en 2017 (et 72 en 2016 l’année record). Mais par rapport à 2016, où le panier moyen était de 34 €, aujourd’hui il est de 36,76 €.
Article complet à retrouver dans notre édition du vendredi 5 avril 2019.
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