Le couple s’était vu certifier, à tort, par la mairie de Sainte-Gemmes-d’Andigné, que le terrain qu’il allait acheter était constructible.
Le couple - qui demandait initialement près de 45 000 € à l’ancienne municipalité - touchera également 1 500 € pour leurs frais de justice.
La commune, elle, maintenait n’avoir commis aucune « faute » dans ce dossier.
Le terrain n'était plus constructible
Pour rappel, le couple avait acheté en 2012 un terrain de 1 460 m2 et s’était vu délivrer à l’époque un certificat d’urbanisme positif pour la construction d’une maison. Ayant finalement renoncé à leur projet, le couple avait tenté de revendre sa parcelle trois ans plus tard, mais la vente avait échoué : le terrain n’était plus constructible.
« Le certificat délivré le 21 août 2012 a déclaré cette opération réalisable, et n’était assortie d’aucune réserve particulière », relèvent les juges.
La suite de l'article à retrouver dans le Haut Anjou du vendredi 26 avril 2019, édition papier ou numérique.
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