Dans le hall 4 des Floralies de Nantes, entre la ville de Nantes, Tahiti et des artistes japonais, « une photo de notre stand est prise toutes les cinq secondes, c’est incroyable ! », se réjouit Pascal Denis.
En plus de promouvoir le land art, ces œuvres réalisées à partir de végétaux, l’association que préside l’Azéen d’origine est située sur un territoire qui a connu une intense médiatisation : Notre-Dame-des-Landes.
Créée par la commune il y a 14 ans
« Il y a quatorze ans, alors que le projet d’aéroport était déjà dans les cartons depuis plusieurs décennies, la commune a décidé de créer cette association pour donner une autre image », rappelle Pascal Denis qui s’est installé dans le village il y a quinze ans.
Depuis, ce sont des bénévoles qui se chargent de la faire vivre, à l’image de ce chef de projet digital qui a notamment participé à la naissance de Louvre-Lens, du musée lorrain à Nancy, de l’Historial Charles de Gaulle...
« J’ai une forte sensibilité artistique vraisemblablement née lorsque je me suis abonné au Carré à Château-Gontier quand j’étais étudiant. »
Un parcours de land art dans le bocage
Sa « boulimie » de culture, Pascal Denis la nourrit en débordant de projets pour l’association Landes’art qu’il préside depuis trois ans et demi.
Article complet dans notre édition du Haut Anjou du vendredi 24 mai 2019.
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