Si Bruno Godivier n’a pas connu l’artiste - puisqu’il est décédé en 1983 - en revanche, celui-ci a bien connu son épouse Lise Tatin. Elle avait la direction du musée après la mort de Robert Tatin.
« Elle avait pris le relais de la restauration des œuvres », se souvient Bruno Godivier. Quand, en 1997, elle envisage de prendre sa retraite, la commune se met en quête de recruter un directeur.
Mayennais d’origine, né à Laval en 1967, Bruno Godivier avait fait les Beaux-Arts à Rennes, et sa spécialité c’est la peinture et la sculpture. « Après mes études, j’avais réalisé quelques décors pour le cinéma et le théâtre. Je vivais à Paris. J’y suis resté sept ans jusqu’à la naissance de notre fille. à ce moment-là, nous avons fait le choix de revenir à la campagne. »
«Pas programmé pour être directeur»
Bruno Godivier a répondu à l’annonce pour la direction du musée Tatin. Une candidature retenue. « Depuis le 1er mai 1997, j’en suis le directeur. J’ai travaillé avec Lise Tatin jusqu’en 2004...»
Article complet à retrouver dans l'édition du Haut Anjou du vendredi 7 juin 2019.
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