Après une carrière dans la médecine urgentiste en Mayenne et une vie dans des logements plus classiques, Bernard a sauté le pas il y a deux ans et demi.
Il s’est installé dans la campagne de Laigné, sur un terrain de 2000 m² qu’il loue à un ami agriculteur.
C’est son fils, charpentier, qui lui a construit la mini-maison de ses rêves. « Au tout début, mes amis me disaient que j’étais un grand malade, rigole-t-il. Maintenant qu’ils viennent régulièrement, ils comprennent. Je ne suis pas non plus un décroissant. J’ai une voiture et j’utilise mon ordinateur tous les jours. C’est ma façon de réduire les possibilités d’emmerdements matériels. En gros, vivre mieux avec moins ».
Pas de prix standard pour les tiny houses
Côté pratique, toutes les eaux usées issues de la tiny house sont collectées par une mini-station d’épuration qui rejette ensuite le tout dans le fossé.
Au niveau du tarif, il n’y a pas de prix standard. Tout est possible. Bernard qui n’est pas bricoleur, n’a rien fait du tout : « ça m’a coûté 40 000 €. »
Article complet à retrouver dans l'édition du Haut Anjou du vendredi 5 juillet 2019.
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