Comme à l’accoutumée, les organisateurs donnent rendez-vous aux festivaliers à Centrale 7, au Carreau du Bois II de Nyoiseau.
Aujourd’hui habituée à « accueillir toujours autour de 400 visiteurs, l'association veut rendre l'événement encore plus accessible aux familles », annoncent Julien et Lionel Hoffmann, de l'équipe organisatrice. Les animations débuteront donc dès 15 h 30 cette année avec un spectacle tout public de François-Moïse Bamba, qui est déjà passé en mars 2018 ». Ce conteur du Burkina Faso collecte et réécrit de nombreux contes de son pays.
Des artisans et associations
Deux ateliers gratuits animeront également l'après-midi. Un premier à 16 h 30 pour découvrir le Bogolan, « une peinture traditionnelle d'Afrique de l'Ouest à base de pigments naturels ». Le second atelier, de la danse africaine, débutera à 17 h 30. Les concerts s'enchaîneront ensuite tout au long de la soirée avec un DJ set en fin de soirée, jusqu'à environ 2 h.
Pour développer l'aspect convivial, le marché artisanal s'étoffe lui aussi, avec la présence de six créateurs d'artisanat local du Burkina Faso. Sans oublier le village associatif où des associations de solidarité présenteront leurs actions. « Notre association Banfora éducation art et culture créée en 2010 dans le but de favoriser la réussite scolaire des jeunes élèves et lycéens de Banfora au Burkina Faso sera aussi présente pour promouvoir ses actions », rappellent Lionel et Julien Hoffmann. Pour la restauration, deux choix de repas africain sont proposés sur réservation.
Pratique - Samedi 27 juillet, 7e Nuit burkinabé, à Centrale 7, au Carreau du Bois II de Nyoiseau, à partir de 15 h 30. Tarifs : concerts seuls sur réservation 12 € ; sur place 15 €. Concerts + repas uniquement sur réservation (18 €) au 06 88 65 70 57 ou à 02 41 77 09 58, ou par mail à resa.beac@gmail.com.
La suite de l'article à retrouver dans le Haut Anjou du vendredi 19 juillet 2019, édition papier ou numérique.
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