Tous les matins, c’est le même rituel pour l’ouverture de l’émeraude. Depuis 21 ans, Stéphane Brunet met du sel de Guérande sur le sol du café avant l’arrivée des premiers clients. « ça enlève tout le négatif. »
La journée peut alors débuter pour ce passionné de courses hippiques, reconverti en barman sur le tard. « J’ai vu une annonce dans le journal un jour et ça m’a pris comme ça », explique-t-il.
« Je récupère tous les oiseaux de nuit »
La particularité de L’émeraude, c’est d’être le seul bistrot du secteur ouvert le soir, jusqu’à minuit environ. « J’aime bien le soir, on peut discuter. Je récupère tous les oiseaux de nuit », rigole-t-il.
Derrière son comptoir, Stéphane a un mot pour chaque client. « L’accueil, c’est le plus important. J’ai eu des gens du monde entier et ça s’est toujours bien passé, indique-t-il. Barman, c’est un métier où tu apprends beaucoup sur l’humain.»
Article complet à retrouver dans l'édition du Haut Anjou du vendredi 26 juillet 2019.
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