Le président des Heures musicales souhaite ainsi attirer tous les publics, notamment les plus jeunes. Selon le président du festival, il faut « innover un peu chaque année ».
Pour 2019, celui qui se définit comme un mélomane, ne déroge pas à la règle, la sienne, en « privilégiant la variété des formes musicales et des compositeurs, et pour sortir de la trilogie des trois B, représentée par Brahms, Beethoven et Bach ».
Têtes d’affiche et têtes pensantes
Et même si le plus célèbre des musiciens sourds sera bien joué début août, le symbole de cette innovation prônée par Jean-Paul Walter se nomme Krystof Maratka, un jeune compositeur tchèque. Inconnu du grand public, le quadragénaire sera à l’affiche lors de la première soirée du festival, à l’église de Grez-Neuville, en compagnie d’illustres disparus comme Fauré, Schumann et Chostakovitch.
Article complet à retrouver dans l'édition du Haut Anjou du vendredi 26 juillet 2019.
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.