La mère de Norbert Leenders était artiste (sculptrice et peintre). Quant à son père, hollandais, il était passionné par les chevaux. « Alors il est venu s’installer en France, pour vivre de sa passion », explique Norbert Leenders.
Lui et son frère Etienne (ce dernier est installé à Jarzé, dans le Maine-et-Loire) attraperont le virus, tandis que le troisième enfant du couple Leenders deviendra paysagiste. « C’est le seul finalement à avoir gardé un lien avec nos grands-parents, qui étaient rosiéristes en Hollande ! », plaisante Norbert.
Des fleurs et couronnes, il en récoltera lui-même beaucoup ensuite sur les podiums.
« Modeste jockey », entraîneur reconnu
Norbert Leenders a débuté très jeune. « J’ai quitté l’école à 16 ans.» Il commença à travailler chez le très réputé entraîneur François Boutin. «J’y suis resté deux ans.»
Puis il enchaîne chez Maurice François, Rémy Cottin, Hubert Bourgeais... Il monte en obstacles « mais j’ai une carrière professionnelle modeste avec une cinquantaine de victoires en dix ans... »
Il aura davantage de réussite en tant qu’entraîneur. Il s’installe à Chant d’Oiseau à Azé après avoir fait ses gammes chez son frère étienne durant cinq ans.
Article complet à retrouver dans nos quatre pages spéciales sur les Trois Glorieuses dans notre édition du Haut Anjou du vendredi 30 août 2019
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