Pour rappel, le centre équestre a fermé cet été.
Élèves et étudiants de la MFR de l’hippodrome et autres clients ont dû trouver une autre solution.
La raison évoquée par l’un des deux co-gérants était l’état de santé de l’autre qui s’était dégradée, et une surcharge de travail.
Une dette de plus de 15 000 €
Claude Gilet : «L’état des lieux avec huissier a duré deux jours. Quand le délégataire est parti, la dette est estimée entre 15 000 à 20 000 euros. Elle concerne principalement des arriérés de loyers (12 000 euros). De plus, il faut remettre l’outil en bon état. Il y a eu pas mal d’arbres coupés, des clôtures à refaire, et un service sanitaire à repasser.»
Et le maire de poursuivre : «Qu’adviendra-t-il de cet argent ? Je ne le sais pas. Je suis comme tout propriétaire à qui un locataire doit de l’argent. J’attends.»
Et de conclure par la suite : «Cela ne m’a pas surpris. On mettra tout en œuvre pour récupérer la dette et faire repartir l’activité».
Retrouvez la suite et les débats entre élus dans notre édition du vendredi 20 septembre 2019
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