Cette association intervient depuis 1990 en Afrique auprès des populations les plus démunies. Dans son film documentaire, Jean-Paul Gislard donne la parole aux gens ordinaires, à ceux qui se démènent pour sortir de la misère, aux femmes qui ont un rôle moteur dans la cité.
« Le but de l’association Echoppe est de permettre aux plus pauvres d’avoir accès au microcrédit et de bénéficier d’un accompagnement social. »
En septembre 2017, au cours d’un séjour de quinze jours au Togo, le réalisateur angevin a filmé les femmes en ville et les petits paysans soutenus par l’association échoppe.
« Son film est lumineux. On a été séduit par son remarquable travail », précise Michel Blanchard, à l’intiative de la projection de ce film à Segré. Il a présenté son projet à ses collègues du Lions club du Segréen et a souhaité y associer les membres du Rotary club.
Les deux présidents, Christian Méchineau (Lions) et Vincent Buron pour le Rotary, ont adhéré tout de suite à ce projet.
Une agriculture de proximité
Dans la bande annonce du film, on voit des femmes qui cuisinent dans la rue. Jean-Paul Gislard les appelle « les restauratrices de rue ».
L’association intervient pour qu’elles puissent bénéficier de microcrédit. L’idée d’Echoppe est de développer une agriculture de proximité en les incitant à acheter les produits alimentaires aux petits producteurs locaux.
Les recettes du film serviront à l’achat d’un tracteur et de graines de bonne qualité. Entrée : 8 €.
Article complet à retrouver dans l'édition du Haut Anjou du vendredi 11 octobre 2019.
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