"Un courrier nominatif signé du conseil d'administration de l'association Spaace", qui se termine par une phrase qui ne passe pas chez les seuls conseillers ayant été destinataires du courrier (le maire et les adjoints n'ont pas reçu ce courrier). On y lit : "Ne nous obligez pas à utiliser la voie judiciaire pour lancer d'éventuels recours." Une phrase lue et perçue comme une pression inadmissible par Colette Labarre, conseillère. "Je me suis sentie menacée et humiliée. Cela ne m'aurait pas fait changer mon vote pour autant."
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"Nous ne voulions pas non plus d'une fermeture prononcée"
Karen Duffy, la présidente de l'association, concède "une maladresse", après une réunion avec les élus le 27 janvier. "Une réunion constructive, avoue-t-elle. Nous savions qu'une réouverture rapide n'était pas possible, mais nous ne voulions pas non plus d'une fermeture prononcée comme définitive au vu des récents développements du côté de Segré."
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