D’où vient cette idée de sortir ce livre de bons conseils ?
J’ai été par le passé le chroniqueur Pays-de-la-Loire dans l’émission Douce France sur France 2 présentée par Christine Bravo. Une des régions les plus codées de France. J’en ai ensuite fait mon business d’où l’idée de ce livre. L’art de maîtriser les codes n’est pas essentiel dans la vie de tous, il donne juste des conseils. Il faut le prendre avec beaucoup de légèreté. Il est écrit comme je parle...
L’art de calmer un dîner qui s’emballe, de mâcher un chewing-gum ou encore d’utiliser le tutoiement... s’agit-il de règles absolues à suivre ou bien de simples conseils ?
Je ne suis en aucun cas un donneur de leçons. C’est un passeport pour être mieux. Rien de plus. On peut indéniablement vivre sans avoir lu mon livre (rires).
Vous avez coaché les candidates Miss France fin 2017, comment peut-on vous qualifier ?
Je suis un ami proche de Sylvie Tellier (directrice générale de la société Miss France). Je m’étais déjà occupé il y a deux ans d’un groupe de candidates. En novembre dernier, j’ai accompagné les candidates en Californie pour leur apporter des astuces. Et notamment expliquer à une jeune fille comment elle doit se comporter lors d’un repas où elle est installée entre le préfet et le maire dans son rôle de Miss France alors qu’elle était peut-être plus habituée à aller manger un kebab tranquillement avec une amis quelques semaines plus tôt. Disons que je suis un expert en bonnes manières.
Pouvez-vous en citer quelques unes ?
J’indique par exemple qu’il est bon que les verres à eau soient remplis lorsque vos invités passent à table. Cela permet à ceux qui suivent un traitement de prendre leurs comprimés sans attirer l’attention sur leurs problèmes. Autre exemple pour un plan de table réussi, terminé la règle d’alterner homme et femme, je suis pour les placements selon les affinités, les passions...
Quelles sont encore vos attaches à Château-Gontier ?
La maison c’est ici. Je suis un Mayennais qui vit à Paris. J’ai passé mon bac scientifique au lycée Victor-Hugo avant de suivre des études supérieures à Angers, Laval... Mais j’ai besoin de revenir à Château-Gontier où mes parents habitent.
Article complet à retrouver dans l'édition du Haut Anjou du vendredi 1er juin 2018.
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