Depuis quelques jours déjà, le domaine de Danne est en plein préparatifs. Les 2300 festivaliers comptabilisés l’an dernier impliquent une bonne organisation pour gérer au mieux l’accueil de tous cette année. Marie-Astrid et Élodie, deux jeunes bénévoles du festival L'Arbre qui marche, s’affairent un vieux filet de tennis à la main. Elles expliquent : « la volonté d’impliquer les visiteurs et d’en faire des “festi-acteurs” demande un esprit d’échange et de partage lors des différentes animations ».
En effet, les conférences, le restaurant végétarien, les réflexions sur l’énergie, l’alimentation, les produits locaux et la diffusion des musiques du monde rapprochent les participants. « Le camping pour séjourner est gratuit et nous avons installé des toilettes sèches ici et là », poursuivent les deux jeunes filles. Mais pourquoi ce filet ? « C’est un vieux filet de tennis qui était destiné à être jeté... Pas question ! Ici, on récupère tout. On l’a réparé avec les moyens du bord : il va devenir un magnifique hamac pour l’espace jeux des enfants ! »
Une structure acoustique originale
Un peu plus loin, une curieuse construction s’élève vers le ciel. Il s’agit d’un “dôme géodésique”, selon son concepteur Pierre Monneau, un segréen. Le jeune homme, directeur d’un centre de loisirs, se passionne pour cet esprit créatif. Il propose une structure susceptible de recevoir des événements en lien avec des mouvements solidaires.
La suite de l'article à lire dans le Haut Anjou du 17 août, édition papier ou numérique.
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