En janvier, Loïc Derouet le maire a eu la surprise d’apprendre du propriétaire du bar tabac, que celui-ci allait arrêter. Ce qui fut fait le 30 juin.
« Nous avons souhaité lui racheter la licence de tabac, il n’a pas voulu, au même titre qu’il a conservé la licence lV», regrette l’édile de la commune.
« La licence de tabac est perdue , à moins d’acquérir une nouvelle licence par transfert d’un débit existant de même nature ou par voie d’appel à candidatures », a répondu la préfecture.
Des élus actifs
Une piste abandonnée après la lettre des Douanes spécifiant que « le débit de tabac le plus proche à 5,5 km d’Astillé satisfait aux besoins de la population locale ».
La municipalité apprend par ailleurs que les propriétaires actuels de la boulangerie comptaient eux aussi cesser leur activité. Pour conserver ses commerces, les élus se sont démenés... Une solution a été trouvée...
Article complet à retrouver dans l'édition du Haut Anjou du vendredi 13 septembre 2019.
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.