Cette année, c’est une programmation plurielle et variée qui a été concoctée par l’équipe du Saveurs jazz. «On a essayé de balayer tous les styles dans lesquels le jazz se meut aujourd’hui.» Le ton est donné par Ronan Palud. «On va ouvrir et conclure avec deux soirées 100% jazz. L’une sera dédié au jazz instrumental et l’autre au jazz vocal.» Entre les deux, Ronan Palud annonce la présence d’artistes pour lesquels le jazz a largement influencé la pratique musicale. «On y trouvera du blues, de la pop, du funk ou de la soul music.» Il résume la programmation à une photographie de ce que peut être le jazz et les musiques qui l’entourent en 2018.
Le 5 juillet, la scène du Parc accueille deux personnalités dans le courant jazz contemporain : Mark Guiliana qui est un des batteurs les plus en vue de la spère jazz du moment. A suivre Kyle Eastwood, un bassiste virtuose et élégant qui joue la carte d’un jazz actuel et spontané.
Le 6 juillet, place à Otis Stacks, groupe composite, à moitié électronique et organique et Sandra Nkaké qui fera entendre sa voix incroyable. La fin de soirée a été confiée à Morcheeba, un groupe de Trip Hop anglais de la fin des années 1990.
Le 7 juillet, la première invitée de la soirée est la chanteuse Sarah Mc Coy. Elle ressemble à sa musique, un blues des bas-fonds complètement déglingué. Après elle, la star attendue des festivaliers est sans conteste Selah Sue, chanteuse belge à la voix chaude et légèrement éraillée.
Le 8 juillet, Roberto Fonseca, le Mexicain Cubain le plus extra du moment ouvrira la soirée sur la scène du Parc. A suivre Electro Deluxe, la sensation fun de la scène française.
Le 9 juillet, la soirée commencera avec Michel Hendricks, fille de l’illustre John Hendricks. Elle a choisi de rendre hommage à l’une des plus grandes chanteuses de l’histoire du jazz, Ella Fitzgerald. Le dernier à monter sur la scène du Parc, Gregory Porter est l’un des plus grands chanteurs de jazz de son époque.
Retrouvez toutes les informations sur la billetterie sur www.saveursjazzfestival.com/billetterie
Article complet à retrouver dans l'édition du Haut Anjou du vendredi 30 mars 2018.
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