Plusieurs communes du sud-Mayenne accueillent des familles de réfugiés. L’Etat avait programmé durant un an, via l’OFI (office français d’intégration), des cours de français afin qu’elles s’intègrent au mieux.
«Mais bien souvent cela ne suffit pas», explique Virginie Batarière, référente du pôle solidarité du Centre intercommunal d’action sociale du Pays de Craon.
Des propos vite confirmés par une femme réfugiée, arrivée en 2013.
«Si pour mes enfants, l’apprentissage de la langue s’est fait rapidement grâce à l’école, pour nous les adultes c’est vraiment plus compliqué.»
Alors, dans un souci d’intégration, plusieurs familles «nous ont fait la demande de continuer à apprendre le français», ajoute Virginie Batarière. «Or, rien n’existait sur le territoire. Alors, nous avons réfléchi pour offrir ce service à ces familles et l’élargir à d’autres (1).»
ire la suite dans notre édition du Haut Anjou du vendredi 18 janvier.
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