Monica Bellucci, Marion Cotillard, Ahmed Sylla, Lambert Wilson, Lily-Rose Deep ou encore Guillaume Canet pour ne citer qu’eux. Ce sont les actrices et acteurs qu’Anthony Chevalier a croisés le 14 janvier dernier. Rien que ça ! C’était à l’occasion de la soirée César et révélations. Un des rendez-vous organisés en amont de la grande cérémonie et qui met à l’honneur les jeunes entrant dans le milieu du septième art.
L’Azéen a eu ce privilège dans son titre de directeur général de 3IS. « L’école que je dirige est partenaire institutionnel de l’Académie des arts et technique du cinéma, elle-même organisatrice de la cérémonie des César », explique le quadragénaire. 3IS, également partenaire de la cérémonie des Lumières, forme chaque année sur ses campus de Bordeaux et Paris plus de 1 700 étudiants aux métiers du cinéma (monteur, cadreur, réalisateur...).
Ancien élève à Saint-Michel
En 2019, et comme depuis dix ans déjà, ses étudiants ont contribué à la prise d’images et de sons en vue de l’événement. « Les élèves ont réalisé des captations, des interviews et making-of des trois soirées précédant la cérémonie du vendredi 22 février (technique, révélations et producteurs). Les interviews des lauréats seront, elles, mises en ligne sur le site Internet et les réseaux sociaux de l’Académie des César », annonce fièrement Anthony Chevalier.
Lui, l’ancien élève du collège et lycée Saint-Michel à Château-Gontier, dont la fibre artistique l’anime depuis son plus jeune âge.
Une enfance passée à Azé, « où ma mère vit encore aujourd’hui », avant de suivre un master arts plastiques à Rennes et de créer une école d’arts appliqués et design à Nantes. Une aventure qui durera onze ans avant son arrivée en 2017 à la tête de 3IS.
« Rétrospectivement, quand je pense à mon parcours, je ne pensais vraiment pas un jour côtoyer des personnalités comme Marion Cotillard que j’ai retrouvée pour la deuxième année à la soirée César et révélations ou bien Guillaume Canet avec qui j’ai échangé sur son film Au nom de la terre tourné entre Laval et Sillé-le-Guillaume », confie celui qui fut durant ses années d’étudiant, correspondant local de presse pour le... Haut Anjou.
Article complet à retrouver dans l'édition du Haut Anjou du vendredi 15 février 2019.
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